Présentation de Sano [Terminée!]

Nom : Sagara, anciennement Higashidani

Prénom : Sanosuké

Sexe : Masculin

Age : 19

Grade : A vous de voir

Village : Kiri Gakure no Sato

Caractère et physique : (Minimun 2 lignes)
Tout d'abord, ce que l'on remarque en premier serait certainement où sa coupe de cheveux plutôt originale ou l'éternel squelette de poisson -ou cure dent c'est selon- entre ses lèvres. Commençons sa véritable description par le haut, voulez-vous.
Sanosuké possède, comme dit plus haut, une coupe de cheveux assez spéciale, très géométrique. Ses cheveux forme effectivement une multitude de triangles de couleur noir de jaie au sommet d'un crane plutôt triangulaire.
Après viennent ses yeux. De larges yeux noirs et sombres dans lesquels brillent de très nombreuses épreuves et son tumultueux passé, lourd et douloureux. Un passé que Sanosuké aurait bien aimé oublier. Après, un nez, des oreilles, une bouche... Quoi de plus normal?
Alors comme dit plus haut, son visage est plutôt triangulaire. D'habitude, il a toujours un cure dent ou un squelette de poisson entre ses lèvres pales et fines. Bien sur, en combat, il le recrache rapidement, à l'exception pour ses ennemis les plus faibles, ou il juge peu nécessaire de s'y mettre à fond.

Tient donc, parlons-en, de son visage en plein combat. Bien que son visage habituel soir légèrement railleur, peut être son ton est tranchant dans son style d'ironie et de rétorquer, ses traits deviennent extrêmement durs lors que le glas du combat sonne, et une certaine rage indescriptibles semble l'envahir. Il en devient alors presque possible de voir dans ses yeux une colère presque appeurante. Maintenant, passons au torse du Sagara.

Muscles, cicatrices, brulures et balafres... Le tronc de Sanosuké n'est pas impressionnant pour sa musculature devons-nous l'avouer assez développée, mais par les très nombreuses traces de ses passages en salle de torture. Et ceux même si il en parle en riant et en rabaissant la douleur elle-même, il doit avouer, de par un certain talent à finir dans la salle d'interrogatoire, être plutôt doué en ce qui concerne ne rien dire aux questions les plus musclées.
Bien évidement, après le torse, les bras. Tous les deux aussi musclés que le torse, il s'agit essentiellement de son style de combat primaire. Après viendra l'art de l'illusion, le Genjutsu. Sinon, il possède en effet une arme de combat assez spéciale. Donc oui, ses poings sont ses armes de premiers choix, avec un Taijutsu dont le répertoire est très personnalisé. Pour en finir avec ses bras, ils sont tous deux enroulés dans de fines bandelettes.
Maintenant les jambes. Que dire de plus que; hormis quelques marques de fouet, elles sont tout bonnement parfaites? Effectivement, il y a de quoi en faire des jaloux. Musclées et longues, pour une personne comme Sanosuké, ainsi que son style de combat, il n'y a rien a demander de plus pour ce point.

Maintenant, voici la mode vestimentaire du jeune Shinobi, légèrement inspiré de celle de Kamishimoemon Higashidani, son père biologique. Sur son front se trouve un bandeau de soie rouge terne, à l'instar de son père avec un bout de corde se trouvant attaché au front. Comme dit plus haut, ses bras sont bandés, tout comme ses jambes et le bas de son torse. Son bas essemble beaucoup a un baggie en effet, il s'agit d'un souple et large pantalon blanc en soie, tissu fin, ce qui explique les nombreuses déchirures.
Après, son haut blanc aux bordures bleues marines, aussi ample que son pantalon, à l'idéogramme du mal dans le dos, d'où son surnom du « mercenaire qui avait le signe du mal dans le dos ». pour terminer sur sa façon type de s'habiller, une ceinture tient son bas, ceinture d'un bleu identique à celui des bordures de son haut et en même matière au passage.

Comme dit plus haut, il possède une arme que Sano utilise de temps à autre. Rudimentaire, mais extrêmement puissante et efficace, même si malheureusement un peu lente. Il s'agit d'une barre d'acier enfoncée dans une lame de fer surdimensionnée. Environ 4 mètres dont environ 75 centimètres à la poignet. La lame a une épaisseur d'environ 15 centimètres et une largeur d'une bonne soixantaine de centimètres. Le poids en est donc considérable. La lenteur de cette arme est compensée par l'utilisation de la force centrifuge, souvent utilisé par Sanosuké, la force du shinobi et de sa puissance dévastatrice. Le seul problème, c'est que la trimbaler sur soi est plutôt encombrant, mais généralement, il arrive à la caser sur son dos enroulé dans un drap blanc et immaculé.

Son physique, ses traits... Tout semble physiquement railleur, facilement violent et particulièrement musclé au déficient d'une certaine intelligence... Oubliez le « L'habit ne fait pas le moine » ici, Sanosuké est effectivement railleur, facilement violent et fort en muscle pour un idiot fini. En tant normal, devrais-je dire, en combat, sa partie moqueuse s'endort. Mais il n'y a pas a dire, Sanosuké devient extrêmement facilement violent... Disons simplement que quand on le cherche, on le trouve souvent très rapidement, ou au moins un poing dans la face arrive souvent plus rapidement que la possibilité de jeter l'éponge.

Maintenant que son aspect global est donné, passons aux détails. Commençons en temps normal, voulez-vous. Comme dit plus haut, le Sagara est particulièrement moqueur, mais n'en reste-il pas moins qu'il porte un certain respect devant ceux qui ont une réelle puissance, et d'une puissance que l'on pourrait qualifier d'égale à celle d'un dieu de la furie. Généralement, ce respect vient d'un précédent combat entre le shinobi concerné et notre bien grand idiot. De plus, il est bien le genre d'homme dont l'éthique guerrière, en tant que combattant, a une très grande importance. En effet, un être ne vivant que pour gagner est, selon la logique de Sanosuké, faible comparé à celui qui va combattre pour de grands idéaux, une motivation pure et la plus grande possible. Effectivement, quand un homme tient un sabre, il ne l'utilisera réellement que quand il y a quelque chose à défendre. L'honneur, celle d'êtres chers... Un homme combat que quand il y a une véritable raison. Battre pour vaincre n'est qu'une preuve de faiblesse comparé aux hommes qui ne regardent pas leur personne, mais qui regarde un véritable idéal.

A savoir aussi, il met l'arrogance dans le même paquet. Malgré son côté légèrement sûr de lui, la vantardise, l'arrogance et l'égo surdimensionné est une preuve de faiblesse. Alors certes, sans arrogance, nous ne pouvons réellement chercher a se surpasser, mais disons que cela est compté dans l'humilité, car cherché a se surpasser sans écraser les autres est un signe de grandeur, se croire fort et imposer cette pensée est d'une nullité affligeante. Contre ça, Sanosuké est claire, « une bonne baston pour remettre un boulet à sa place fait passer le temps comme une vraie baston, autrement dit encore mieux que le saké! » En effet, ce sont ceux qui parlent le plus qui se retrouvent à terre, se découragent et fuient le plus rapidement, gros bras ou pas.

Enfin, en disant sûr de lui, je serais bien plus exacte en disant qu'il connait ses capacités, ses limites, ses points forts et ses faiblesses suffisamment bien pour se permettre de refouler à la porte les plus faibles personnages visant, et ceux malgré leur terrible manque d'expérience et de puissance, déjà les meilleurs places.

Maintenant, parlons de cas plus particulier.
Il n'est pas vengeur par nature, mais lorsque que son honneur et bafoué, qu'il se sent humilié ou insulté, il n'hésite presque jamais à frapper le premier, et de même quand il s'agit de l'un de ses amis, il retrouvera toujours le coupable jusqu'à ce que se soit le sang qui lave l'affront. En combat aussi, c'est un autre homme. Faut-il avouer qu'il puisse être doux et tendre, dès que le glas du combat sonne, il s'emporte dans une rage combative et une fureur guerrière qui en est presque terrifiante. Parallèlement a ce point, quand il est en rogne, ou qu'il se prend un petit paquet de faiblards, il est presque heureux de briser les os de ses ennemis, à un point où le sadisme est proche. Comme il le dit lui-même, il trouve cela « très relaxant, et parfait pour évacuer tout ce qu'il y a de mauvais dans le système.». Quand il n'est pas en excellente humeur, disons même très irrité, il va souvent cherché une petite bande jusqu'à une compagnie entière de « petite bouse » de la cambrousse rien que pour une « bonne baston », histoire de retrouver sa joie habituel.

Il serait mal, maintenant, de ne pas parler de ses capacités intellectuelles. Tout d'abord, il s'agit d'un idiot doublé d'un crétin fini. Oui, c'est un élément brut, une brute, pas un penseur. Qui plus est, c'est un loup solitaire! Il n'en fait qu'à sa tête, et agit souvent très bêtement, d'où ses très nombreux passages en salle de torture. Mais le hasard fait régulièrement bien les choses, et il manie très bien les genjutsus, et un Taijutsu très inspiré de son très maigre talent en Ninjutsu, où son Raiton, d'où son passage de ses 10 à ses 18 ans à Kumo no Sato, avant un petit ermitage d'une année, est sa seule affinité. A côté de sa partie « super bourrin », en poussant à son paroxysme son art du Genjutsu, il peut souvent vaincre d'un simple regard dans les yeux. Enfin, il peut seulement, car il préfère nettement pour la majorité, exception faite pour les ennemis de très grande valeur, la partie du « taper tant qu'on peut » a celle du « attention à la météorite qui tombe sur toi hihi. »

Maintenant, finissons avec son caractère, son type de constante quand il parle, ou quand il se balade simplement dans la rue. Précisons d'abord qu'il est particulièrement franc et direct, et ceux avec soi-même comme avec autrui. Il pense ce qu'il dit, et dit presque tout ce qu'il pense. Il ne va pas dire en combat un « p****n il est trop fort ce type! » mais plutôt le gardé pour soi. Sinon, il est important de savoir, il est dit qu'il haïssant la vantardise... Il a un certain dégout, en effet, pour ceux qui prétendent pouvoir changé le monde tant qu'ils n'ont pas fait leur preuve sur Sanosuké avant. A savoir aussi, disons qu'il a un très mauvais souvenir des drogues et qu'il n'hésite pas a tabasser quiconque tente de lui graisser la patte avec de l'opium, ou autre.

Mais parlons aussi un peu du symbole du mal qu'il y a dans son dos. Si il porte ça, c'est en rapport avec son passé, et ceux dès son plus jeune age. Il fit partit de la dite « Armé du Bien » en Chine, vu qu'il n'est pas né dans un village Ninja mais de bien plus loin. Composé de villageois, ils avaient le soutient du gouvernement. Cependant, les politiciens les ont lâchement abandonné dès qu'ils eurent prévenus d'une meilleur vie, de moins d'impôt et d'autre fantaisie que les chiens du gouvernement comme il dit avaient inventés pour les expédié en Enfer. Lui a survécu par la bienveillance de son capitaine, et en reniant cette « Armée du Bien », il cousue le symbole du mal dans son dos, et tant qu'il le tiendra fièrement sur son vêtement, peu importe qui croisera sa route, il pourra frapper n'importe qui et n'importe où, en se fichant royalement des conséquences.

Petite chose pour finir, il adore le jeu, sous entendu par jeu les jeux d'argent entre amis sans perdre ni gagner des richesses, et en particulier le jeu du pair ou impair. Sinon, c'est un bon buveur d'alcool, du moins dans les limites du raisonnable.

L'histoire de Sanosuké commence 19 années avant notre temps, dans les tréfonds de la Chine, mais commençons par un détail important de sa vie, qui serait mauvais de ne pas citer.

21 années avant notre ère, en chine, dans un village isolé du monde, loin, très loin de tout autre village, à l'écart des routes et pour finir à flanc de montagne. Une jeune femme et son mari, de 26 tout deux, dans une maison ni grande, ni petite, tenait un nouveau né dans leurs bras. Un jeune garçon, pour être exact. Le jeune homme se nommait Zedjané. Il n'avait que quelques cheveux blancs neige, rare pour les enfants, et de magnifique yeux bleus nuits, un bleu qui semble vous traverser le corps d'un simple regard... Ce genre de bleu nuits dans lequel on se noit si facilement une fois plongé dans le regard du nouveau-né. Certes, il venait de naitre, mais aussi devait-on dire qu'il ne pleurait pas, il montrait une indifférence totale, de telle façon que seule sa respiration régulière et légère était un signe de vie chez lui. Il portait son regard et balayait la pièce de ses petits yeux, mais tout ce qu'il voyait semblait si anodin... Une sorte de complexe de « refus d'intérêt » lui vint peut être directement de sa naissance, peut être après, mais il est sûr qu'il n'avait jamais changé de regard... Jamais ni convoitise, ni envie de possession, ni rejet... Il ne voulait rien, il se contentait de ce que les autres lui laissaient, où ce qu'ils considéraient comme ses biens, même si Zedjané ne les considérait aucunement comme ses propriétés.




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Clan ou hérédité : Aucun

Comment a tu connue le forum ? En voyant une ancienne bannière de ma création ici, je me suis inscrit, en voyant le plagiat, j'ai pas prit le bon pseudo ><

Code : Euh... Je lis jamais les règles... Mais pour toi, Mitsuki Uzumaki , je vais le faire <3

Spoiler:

[ça ne logeait pas sur un seul post =D)

Pendant quatre années, le mystérieux enfant restait ainsi... Autrement dit totalement neutre. Puis, enfin, un second enfant naquit. Un autre garçon, au grand plaisir des parents, car à cette époque les filles était souvent rabaissées, voir abandonnée par des parents indignes. Mais la pauvreté était tellement grande chez eux... Mais passons. L'enfant, un garçon, venait de naître. Zedjané, qui alors avait quatre ans, mais paraissait-il déjà en avoir neuf, était dehors, endormis dans l'herbe. Kamishimoemon était au côté de Nanamé, dans une atmosphère d'anxiété palpable. L'enfant ne criait pas, n'affirmait pas son premier souffle de vie, alors qu'il était dans les bras de sa mère. Lui ne comprenait pas. Il avait quelques cheveux noirs qui commençaient à pousser, et son visage triangulaire où deux magnifiques yeux noirs de jais trônaient. Il fut élevé, et choyé par ses parents, tout comme son frère. Ce fut un temps, un « bon vieux temps » comme on dirait aujourd'hui... Tout semblait parfait, et rien ne semblait pouvoir défaire cette joie. Jusqu'à...

Zedjané avait atteint quatorze ans. L'Higashidani alla voir son père, et déclara simplement qu'il allait rejoindre le Sekihotaï. Une armée constituer essentiellement de paysans et de commerçants. Ce qu'ils voulaient? Rétablir la restauration, afin que l'inégalité des quatre classes soit enfin rompu. Quant à Sanosuké, alors âgé d'une dizaine d'années, suivit naturellement son frère. Cela paraissait évident! Le jeune chinois suivait son frère partout, et quitte à rejoindre le Japon Médiéval! Son frère le prévint de suite. L'ère Meiji était très dur là bas. Cependant, la résolution du jeune Sanosuké était trop dure pour être ébranlée. C'est sans hésitation qu'il suivit son frère pendant la marche éreintante séparant le territoire chinois aux terres japonaises. Il s'arma d'un Katana, et tous les soirs, après une séances d'étirements, ils s'entrainèrent ensemble, vu que Zedjané avait déjà son sabre traditionnel. Sanosuké révéla alors être un combattant extrêmement doué pour le maniement des armes longues. Son frère lui troqua son sabre contre un Zanmato, arme plus adéquate au jeune combattant. Est-ce d'ici que son talent pour la maitrise du Zanbato, sa future arme de prédilection? On peut le penser...

Arrivé au port, les deux frères embarquèrent pour Kobé, puis ensuite ils iront à Kyoto, la capitale actuelle du Japon Médiévale. Le Sekihotaï recrutait parmi tous les bras de toutes les régions. L'origine Chinoise des deux frères, même si elles n'étaient que très peu visibles, n'étonna donc personne.Cependant, la populace préféra tout de même les éviter. Pourquoi? Leur sabre, le port d'arme était interdit aux ports de commerce, exception faites pour les militaires, ou futurs militaires. Ils furent emportés par quelques recrus toute fraîche, leurs hésitations trop nombreuses et leurs mimiques trahissaient leur stress. C'est donc amusés que Sanosuké et Zedjané allèrent à Kobé, et leur marche en compagnie des bleus jusqu'à Kyoto fut plus distrayante que prévus. Même si Zedjané n'avait esquissé aucun sourire, Sanosuké savait parfaitement lire en son frère, et savait a quel point il trouvait ridicule les bleus. Leurs fourreau n'était même pas bien attaché à leur taille! Railleur comme il l'était, Sanosuké ne manqua pas d'envoyer quelques phrases cinglantes et tranchantes à chaque fois que l'occasion se présentait. Bref, il commença à prendre en assurance, tandis que son frère était toujours plongé dans son habituelle mutisme. Quant à sa famille, plus de nouvelle. Il ne pouvait de toute façon pas en avoir, vu que ni son père, ni sa mère ne savait lire ou écrire. Ils ne savaient que compter, et encore... Cette pensée le rembrunit, et il avança légèrement plus concentré sur son but immédiat. Revenir en Chine pour revoir sa famille...

Seidô Sagara, chef de la première division du Sekihotaï. Voici le nom du chef hiérarchique de Sanosuké, mais aussi son Sempaï et son père adoptif, dans les rangs de l'armée. Peut être dès le début voulait-il prendre le nom de Sagara, vu que les fils de paysans ne pouvaient avoir de nom de famille, mais quoi qu'il se passa, son admiration pour Seidô ne cessait de grandir. Pendant cinq années, il combattu aux côtés de son maitre. Jusqu'à l'âge de quinze ans, il œuvra au nom du Sekihotaï, « l'Armée du Bien ». Ils étaient soutenu par le gouvernement, qui alors les faisait annoncer une baisse imminente des impôts. Seulement...

Le gouvernement les abandonna a leur sort. Tous moururent. Zedjané, il ne savait ni où il fut réquisitionné, mais il était mort, c'était une évidence. Seidô, quant à lui, eu la tête tranché sur la place publique. Tous morts... Tous, sauf Sanosuké Sagara, non reconnut comme le fils de Seidô, mais qui leva le front haut quand son père adoptif de l'armée lui déclara que son testament reposait aussi sur ce fait. Il sombra un moment dans la dépression, dans la violence, puis dans la folie. Peu à peu, Sanosuké, le combattant droit et puissant, devint Zanza, tueur à gages, armé du Zanbato, son arme devenu fétiche maintenant. Maintenant, c'était Zanza, l'homme au symbole du mal dans le dos...

Il avait seize ans, pourtant Zanza semblait en avoir vingt. Il était réputé dans tout le Japon comme un tueur à gage extrêmement puissant, question Kenjutsu. Souvent on lui demanda de devenir l'exemple, l'insigne des Kenryu, autrement dit des écoles des armes, enseignant le kendô, l'art des armes, et le Kenjutsu, les techniques d'armes. Jamais il n'accepta. Il commença à s'intéresser à l'art du genjutsu, sur quelques écrits de la côté japonaise. L'âge de dix-sept ans arriva, et son statut de maitre du kendô n'avait pas changé. Mais maintenant maitrisait-il enfin une petite partie de l'art de l'illusion. Peu à peu devient-il l'un des plus puissant de l'archipel Japonais, à l'exception des ninjas surpuissants des côtes. Question Kendô, oui, il était l'un des plus puissant, mais son Ninjutsu, qu'il apprenait par le biais des écrits, était bien faible... Heureusement que son Genjutsu s'avérait plutôt à un niveau très acceptable. Seulement arrivait-il à créer un très léger chakra Raiton... Sur ce, n'ayant plus rien a faire dans l'archipel, il alla jusqu'au côtés, pris un bateau et s'aventura jusqu'au pays des Ninjas... Son affinité Raiton le poussa à s'installer à Kumo pour commencer, mais il ne semblait pas avoir sa place...

Pourtant, dans ce village, il était considéré comme l'un des Shinobis des plus puissants mais... Le village de la foudre ne lui revenait pas. Bien que sa décision dura des mois, jusqu'à sa majorité, à quelques jours prêts, il se décida à allez à Kiri Gakure no Satô, village caché de la brume. Même si son affinité n'était pas très « apte » pour ce village, il n'hésita pas une seconde, le climat brumeux et pluvieux par moment lui rappelait la Chine, son pays d'origine... Sa région et sa famille...

Mais en tant que Shinobi, il ne s'attarda pas sur ses sentiments. Il avait fuit le Japon et ses problèmes, en voulant être un combattant de génie, et aider son frère. Il avait tout perdu. Sa famille, il n'en avait plus. Avant, c'était Sanosuké. Pendant la guerre, c'était le fils de Seidô Sagara. Après cette maudite guerre, ce fut Zanza le tueur à gages. Maintenant qu'il était revenu à un état d'esprit plus « normal », il avait reprit son prénom d'origine et son nom d'adoption. Maintenant, c'était Sanosuké Sagara...

C'est terminé, enfin! Si il y a besoin d'un test Rp, alors je le ferais =D

Bienvenue

Tu es validé

Je te met Anbu ^^

Ok, merci à vous deux ^^ maintenant je commence mon arrivée triomphale à Kiri ^^

Bienvenu ^^
Waah super présentation !! *O*

Et bien, merci Hinata ^^"

Franchement, ça fait plaisir!

Derien c'est normal, franchement elle est super et bien détaillée =)
C'est rare de voir des présentations aussi bien écrite ^^